23.12.09

Débat UMP Facs - UNI : Entreprendre à la fac, et pourquoi pas ?



Dans le cadre de l'opération nationale lancée par l’UMPFacs «Entreprendre à la fac, et pourquoi pas ?» et parrainée par Laurent Wauquiez, l’UMP Facs - Reims s’est associée à l’UNI pour organiser un grand débat sur ce thème dans la cité des Sacres.


Entouré d’une trentaine de jeunes étudiants et en présence du président du MEDEF Champagne - Ardennes Pierre Posseme, du chef d’entreprise et conseiller municipal rémois Jean-Marc Roze ainsi que du responsable communication de l’UMP Facs Philippe Laurence et Geoffroy Baudot venu également pour le lancement de l’UMP Filière Pro à Reims, la constatation a pu être faite de la difficulté pour un étudiant encore à l’Université de créer son entreprise.


Comment redonner confiance aux jeunes pour qu’ils franchissent le pas de l’entrepreneuriat? Pourquoi en France l’écart est-il si grand entre l’Université et le monde de l’entreprise ?

Pourquoi est-il plus facile de créer son entreprise lorsqu’on sort d’une grande école plutôt que d’une fac ?


C’est à ces questions que nos intervenants ont répondu en encourageant les étudiants à s’adresser plus facilement aux différentes structures comme le MEDEF, la CGPME, la Chambre de Commerce et d’Industrie, la Chambre du Métier et de l’Artisanat et d’autres qui conseillent et aident les nouveaux entrepreneurs.


Le débat fut enrichi par le témoignage d’un jeune entrepreneur de 22 ans Kevin Fontaine qui partagea son expérience, fit part des difficultés de ses débuts et donna quelques conseils pour réussir notamment en s’aidant de l’excellente loi d’Hervé Novelli sur l’auto-entrepreneur. Les jeunes évoquèrent également l’absence de «Junior Entreprises » au sein de la faculté de Reims, c’est ainsi que l’UMP Facs - Reims avec l’aide de différentes associations étudiantes a décidé de réfléchir à un projet visant la création de cette structure qui manque tant à l’Université de Reims Champagne-Ardennes et qui pourrait réduire le fossé entre les étudiants des facs et le monde de l’entreprise.

21.10.09

Tractage à la fac pour le vote électronique



Lundi 12 octobre, une fois n’est pas coutume, il fait beau à Reims. Il n’en faut pas plus pour motiver les étudiants UMP rémois à aller tracter à la Fac. Le rendezvous est pris au Campus Droits et Lettres, haut lieu de contestation l’an dernier ; il s’est, en effet, retrouvé bloqué pendant plus de deux mois. Cette fois-ci l’objectif est de défendre la proposition de loi sur le vote électronique lors des élections étudiantes énoncée par le député rémois Arnaud Robinet et soutenue par l’UMP Facs.

Avec Cyril, Claude-Edouard, Marie et Charly nous prenons donc notre temps pour expliquer aux étudiants tous les avantages de cette loi :
- meilleure représentativité donc plus de démocratie
- plus de transparence
- réduction des coûts, bénéfice écologique

L’accueil est très bon, de nombreux étudiants apprécient de pouvoir échanger avec l’UMP Facs, ils ont gardé un bon souvenir du combat mené par notre équipe contre le blocage de la faculté l’an dernier. Ils sont également très réceptifs à nos arguments et semblent approuver ce nouveau mode de scrutin.
En une heure plus de 1000 tracts seront distribués, le pari est réussi: être présent sur le terrain pour expliquer les réformes aux étudiants, des réformes indispensables pour la modernisation de l’Université française.

Une chose est sure, avec ce nouveau tractage, l’équipe de l’UMP Facs - Reims montre une fois de plus que le temps où la gauche avait le monopole de la parole à la fac est bien révolu. Désormais c’est à l’UMP que l’on réfléchit à l‘avenir de l‘Université, les Jeunes Populaires sont partout et bien évidemment à la fac.

29.9.09

L’UMP Facs soutient la proposition de loi sur le vote électronique aux élections universitaires


Renforcer la démocratie à l’université, tel est l’objectif du député rémois Arnaud Robinet qui vient de proposer une loi visant à favoriser la participation lors des élections universitaires par l’instauration du vote électronique.

Cette proposition de loi part du principe qu’actuellement la participation lors de ces élections plafonne à 15 % seulement ce qui traduit une faible légitimité des conseils centraux d’université. L’enjeu est donc de simplifier le vote lors de ces élections en permettant à tous les étudiants d’y participer qu’ils soient présents ou non dans l’établissement au moment du vote, le principe du vote électronique étant plébiscité par plus de 80 % des étudiants (sondage Opinionway de juillet 2009)

Toute l’équipe de l’UMP facs et notamment celle de l’Université de Reims apporte son total soutien à cette proposition de loi et tiens à féliciter le benjamin des députés UMP Arnaud Robinet, qui se trouve être également mon professeur à la faculté de Médecine de Reims, pour son implication dans le dossier des Universités et sa volonté de renforcer la représentativité des étudiants et ainsi faire vivre la démocratie au sein des facultés.

S’inscrivant dans le travail de modernisation de l’Université française entrepris depuis 2 ans par Valérie Pécresse, l’instauration du vote électronique tend ainsi par un renforcement de la démocratie à permettre une plus grande participation des étudiants aux décisions engageant leur avenir.

4.5.09

Déblocage de la fac de Reims !


Après 5 semaines de blocage total, le Campus Croix-Rouge a enfin voté la fin du blocage, il était vraiment temps, l'année universitaire risquait d'être perdue. Je me réjouis donc de ce vote (886 voix contre le blocage et 787 pour).

Avec l'UMP facs, l'UNI et le collectif "Pour le droit d'Etudier" nous avons mené un combat acharné pour mettre fin à cette situation intolérable qui empêchait les étudiants d'aller en cours et qui ruinait la réputation de notre université.

Il est temps que les mentalités changent, qu'on en finisse avec cette opposition systématique de toute réforme touchant l'enseignement supérieur, la faculté ne doit plus être le théâtre des luttes, il est temps de rendre la fac à ceux qui veulent étudier.

Nous restons bien entendu vigilants et tenons à une reprise des cours dans la sérénité.

12.4.09

Message d'Arnaud Robinet aux étudiants de l'URCA


Etudiants de toutes sensibilités, vous avez été nombreux à prendre contact avec moi pour dénoncer le blocage de votre université. Etant moi-même enseignant-chercheur à l'Université de Reims Champagne-Ardenne, je suis particulièrement préoccupé par la situation que vous décrivez. Et je veux vous dire combien je vous trouve courageux de ne pas vous être laissé abattre, et vous assurer de mon entier soutien.

Car s'il va de soi que la concertation est primordiale pour tout ce qui a trait à l'avenir de notre université et de notre recherche, il est en revanche tout à fait intolérable que des groupes minoritaires radicaux prennent en otage l'ensemble de la communauté universitaire.

De nombreux étudiants ont rallié ce mouvement violent sans penser à mal et en croyant de bonne foi aux fausses rumeurs qui circulent sur l'avenir de l'Université. A ces derniers, il faut répondre que la majorité actuelle fait plus pour l'enseignement supérieur et pour la recherche qu'il n'a jamais été fait auparavant; il faut les inviter à regarder quels sont les moyens consacrés à ces deux priorités en 2009 (+ 9 % par rapport à 2008); il faut leur dire que concrètement, à l'URCA, ces moyens permettront de mettre en sécurité l'amphithéâtre n° 2 et de reconstruire l'UFR de droit sur le campus Croix Rouge, de rénover le gymnase, de moderniser la bibliothèque et de restructurer le bâtiment 7 sur le campus du Moulin de la Housse et de réhabiliter la cité Teilhard de Chardin à Reims.

Parce que je contribue moi-même à faire la loi, et ce dans un esprit profondément républicain, je ne tolère pas qu'on colporte des mensonges pour entretenir des actions motivées uniquement par l'idéologie. Et je suis prêt à vous fournir toutes les informations dont vous pourrez avoir besoin pour nourrir les débats.

Au-delà de ces arguments de bon sens, je veux que vous sachiez que je n'ai pas attendu pour agir.

Au niveau national, j'ai directement alerté le ministre de l'Enseignement supérieur et le Premier ministre sur la gravité de la situation. Résultat de ma démarche: une pétition du ministère tendant à la fin des blocages circule en ce moment même parmi les responsables politiques.

Au niveau local, je suis en contact permanent avec votre président d'Université, et j'ai incité des étudiants à s'organiser en un collectif "pour le droit d'étudier", très actif sur le site de l'URCA, et que je ne saurais trop vous recommander de rejoindre.

Enfin, et quoique je connaisse votre exaspération, je vous appelle au calme et au pacifisme. Laissez l'apanage de la violence à ceux qui bloquent l'accès à l'Université, à ceux qui occupent des salles de cours, à ceux qui molestent les étudiants et les personnels. Vos revendications sont légitimes et les méthodes de ceux qui vous font face seront, tôt ou tard, unanimement condamnées par l'opinion.

Arnaud ROBINET

Les étudiants manifestent contre le blocage de la fac








Plus de 200 étudiants ont manifesté dans les rues de Reims à l’appel de l’UMP Facs, de l’UNI, des collectifs “Pour le Droit d’Etudier” et “Bloquer le blocage” contre le blocage intolérable de la faculté.

Nous sommes d’abord aller manifester notre colère à la présidence, en effet le président de l’Université à refuser de faire respecter le réferendum qu’il avait lui-même organisé qui donnait une large majorité à la reprise des cours (970 contre 578). Les étudiants ont donc appelé le président à prendre ses responsabilités et à débloquer la fac. Puis c’est dans la bonne humeur que nous avons défilé dans les rues de Reims avec un arrêt au rectorat où une délegation a été reçue puis à la sous-prefecture.
Les étudiants ont reçu le soutien d’une grande partie des passants et des automobilistes. Cette manifestation qui a rassemblée plus de monde que celle des bloqueurs a fait la une du JT de FR3 et du quotidien régional ainsi que des radios locales.

Les étudiants ont ainsi montré leur determination à voir leur fac débloquée et à pouvoir reprendre les cours dans les plus brefs délais.

Pour ma part je tiens à remercier nos députés pour leur soutien et leur aide notamment Arnaud Robinet qui n'a pas hésité à faire part de notre inquiétude au président de l'URCA et Catherine Vautrin qui s'est investie auprès du ministère pour qu'un communiqué appelle à la reprise rapide des cours. Merci à eux et bravo à tous les étudiants qui se mobilisent pour défendre le Droit d'Etudier.

P.S.






7.4.09

La présidence de l'Université a trahi les étudiants

A la suite d'un entretien cet après-midi avec la présidence de l'université qui nous a informé qu'elle ne tiendrait pas compte du vote démocratique d'hier qu'elle avait elle-même organisée (970 voix pour la reprise des cours contre 578), la structure de l'UMP Facs - Reims, l'UNI et le collectif "Pour le Droit d'Etudier" dénoncent l'attitude irresponsable du président qui se soumet à la volonté d'une poignée d'étudiants radicaux qui n'ont d'ailleurs pas hésité encore hier à degrader les locaux de l'université.

Nous avons rappelé au président qu'en prenant cette décision, une grande partie des étudiants dont les 1000 qui ont voté hier pour la reprise des cours se sentait trahie par l'administration et les conséquences risquaient d'être grave quant à l'avenir du semestre.

Enfin nous tenons à préciser que notre réunion a du être écourtée, en effet une cinquantaine d'étudiants bloqueurs ont envahis la présidence et ont réclamés à rencontrer le président de force, celui-ci nous a donc invité à quitter les lieux et s'est une nouvelle fois soumis à ces radicaux qui prennent en otage tous les étudiants en les empêchant d'avoir cours.

La situation est donc intolérable, si elle perdure c'est la mort de la fac, nous avons toujours dénoncer cette mentalité et défendu le droit d'étudier.Par conséquent nous invitons TOUS les étudiants opposés au blocage à venir demain MANIFESTER à 13h30 devant la présidence, nous devons montrer au président qu'il se doit d'écouter les étudiants qui désirent reprendre les cours. Il est très important que l'on soit nombreux, ce sont nos études et par conséquent notre avenir qui est en jeu, n'hesitez à amener vos amis, vos parents, les médias seront bien evidemment présents pour couvrir l'évènement.

29.3.09

Compte-rendu de la Réunion-Débat sur là réforme du statut des enseignants-chercheurs


La structure de l’UMP Facs - Reims a eu le plaisir d’organiser le mercredi 25 février un grand débat sur une réforme au cœur de l’actualité : celle de la réforme du statut des enseignants-chercheurs.
Avec l’aide du collectif « Pour le Droit d’Etudier », la réunion fut axée sur le dialogue et l’échange avec la présence du député UMP Arnaud Robinet également professeur à la faculté de médecine et du professeur en Sciences Economiques Martino Nieddu (syndicat SNESUP, opposant à la réforme) devant un public de 150 personnes composé d’étudiants et de professeurs venus s’informer et échanger autour de ce décret.
Tous les thèmes furent abordés notamment l’évaluation des enseignants, la modulation des activités de recherche, d’enseignement et de tâches administratives ainsi que la revalorisation de ce métier.
Malgré quelques divergences idéologiques, le débat fut de grande qualité, les échanges se déroulèrent dans le respect et la sérénité, il y eut même consensus sur certains points. Tous admirent que la concertation et le dialogue étaient nécessaires pour faire avancer le débat. Notre équipe fut félicitée par les professeurs pour cette initiative.
Au final tous conclurent sur la nécessité de réformer notre enseignement supérieur, l’objectif principal étant plus que jamais de valoriser la recherche et la qualité de l’enseignement afin de défendre une université plus moderne et plus juste, une université d’excellence.

Vers un nécessaire changement de mentalité dans les facs ...

La tradition veut que l'Université soit le point de départ de toute contestation sociale de masse, sans les étudiants peu de chance de réussir à avoir un vrai impact en terme de mobilisation, une tradition marquée aussi par le refus de toute reforme de notre système universitaire. Hélas, cela nous a mené à la situation où nous sommes aujourd'hui : des Universités qui ne cessent de reculer dans les classements internationaux, un écart qui se creuse avec les Grandes Écoles, des facs bloqués pendant plusieurs semaines, des cours supprimés…

Lors d'une AG il y a quelques semaines, un professeur contestataire désignait les étudiants comme la future élite de demain. Une affirmation malheureusement bien peu crédible alors que le taux d'échec en première année de licence est proche de 50 %, que près de la moitié des étudiants diplômés à bac+4 ne trouvent pas d'emploi au bout d'un an et que près de 30% des enseignants - chercheurs ne font pas de publication.
Est-ce cela une Université qui forme des élites ? Est-cela une Université de qualité ? Je ne le crois pas.

Nous avons donc le devoir de réformer notre Université, c'est l'avenir d'un grand nombre d'étudiants qui est en jeu. Je reste résolument optimiste, nous avons la chance d’avoir un gouvernement courageux qui s'est attelé à cette tache avec intelligence et pragmatisme, la loi LRU va dans le bon sens en donnant plus d’autonomie aux facultés ou en fixant comme objectif de diminuer de moitié le taux d’échec lors de la première année de faculté. Il en va de même pour la reforme de l’enseignement supérieur qui valorise la recherche ainsi que la qualité de l’enseignement .

Malheureusement, chaque reforme qui concerne l’université se heurte au refus sans appel de certaines organisations étudiantes qui s’opposent à toute avancée et qui défendent le statu quo. On ne peut plus se permettre de bloquer chaque année nos facs, l’université ne peut plus continuer à être le théâtre de toutes les contestations stériles, il en va de l’avenir de notre système d’enseignement, il en va de notre avenir. Il est temps de se tourner vers le futur, temps de défendre une Université plus moderne, plus proche des entreprises, une Université d’excellence.

C’est à nous jeunes de l’UMP d’être à l’avant-garde de ce changement, en brisant les conservatismes, en changeant les mentalités, en s’inspirant de ce qui fait la renommée des universités internationales, en défendant le mérite et la réussite, nous sommes peut-être à un tournant de notre système universitaire, saisissons cette chance, soyons révolutionnaires.


Paul Saade


(article publié sur le site de l'UMP-Campus :
http://campus.jeunesump.fr/2009/03/27/reunion-debat-a-la-fac-de-reims-sur-la-reforme-des-enseignants-chercheurs/ )

17.3.09

Le Collectif Pour le Droit d'Etudier dans l'Union

Comme vous le savez, il y a 1 mois et demi, avec des etudiants de toutes les tendances politiques, nous avons créer un collectif afin de defendre la liberté d'etudier et s'opposer au blocage.

C'est au nom de ce collectif que j'ai pris la parole hier lors de l'AG qui a malheureusemenr reconduit le blocage au Campus Croix-Rouge pour une semaine, nous avions denoncé la méthode du vote (à la romaine) trop approximative notamment lorsque le resultat est tres serré comme c'etait le cas hier ainsi que le blocage que nous jugeons radical et illegal, il porte atteinte au droit des étudiants de pouvoir étudier et porte prejudice à leur année universitaire.

Nous continuerons par conséquent à être mobilisés jusqu'à ce que les cours reprennent de manière sereine.


Voici le lien Facebook du groupe :





Voici l'article de l'Union d'aujourd'hui citant notre collectif :


"Blocage du campus : les opposants chahutés






L'AG d'hier a, à nouveau, réuni un millier de participants à Croix-Rouge ; le vote en faveur du blocage aurait été obtenu dans des conditions que certaines voix commencent à contester.
Une enseignante qui a tenté de faire cours, hier, a vu son cours interrompu par les partisans du blocage du campus Croix-Rouge. L'ambiance se tend sur le campus droit/lettres Croix-Rouge de Reims. La nouvelle assemblée générale qui s'est tenue, hier, a décidé de poursuivre le blocage jusqu'à lundi prochain. Cette décision a été toutefois acquise à une majorité et dans des conditions jugées discutables par certains étudiants. Autre signe de tension grandissante : une professeur qui voulait passer outre le blocage et assurer, hier, un cours de droit civil, a vu celui-ci interrompu de façon quelque peu mouvementée par les « bloqueurs » : « Nous étions une cinquantaine d'étudiants dans l'amphi. La professeur n'a eu le temps de donner que le titre du cours. Les partisans du blocage sont arrivés. Il y a eu violences verbales, menaces, et même une bousculade », témoigne une des participantes. Les choses ne sont toutefois pas allées plus loin. D'autres cours auraient même été interrompus de la même façon. « Ces interruptions se font pour éviter une inégalité avec les étudiants grévistes qui ne vont pas aux cours », commente un porte-parole de l'Unef (syndicat étudiant marqué à gauche). On sent quand
même monter un mouvement d'opposition au blocage. Au nom d'un collectif pour le droit d'étudier, Paul S. dénonce ainsi le mode de scrutin « à la romaine » (le public se partage en deux groupes selon leur réponse), inadapté quand les deux groupes sont de taille comparable, ce qui semble avoir été le cas hier : l'Unef annonce un partage 60-40 en faveur du blocage, d'autres étudiants semblent avoir plutôt vu quelque chose se rapprochant d'un 51-49, voire d'un 50-50.
« Mais ceux qui souhaitaient faire procéder à un véritable comptage, et sur présentation de la carte d'étudiant, n'ont pas été écoutés », témoigne Marie, une des participantes. Par ailleurs, lors de l'AG d'hier, qui a réuni à nouveau autour d'un millier de personnes, les étudiants ont été appelés par les opposants aux réformes de l'université à participer à la manifestation interprofessionnelle du 19 mars. Pendant le blocage la lutte continue… mais pas les cours.
A.P."

14.3.09

Déclaration de l'UMP Facs - Reims dans l'Union




"Les étudiants bloquent la fac de lettres

Ils étaient près de 1.000 à défiler, ici dans la rue de Vesle et ses travaux.
Hier, les étudiants ont bloqué la fac de droit et de lettres. Ils ont ensuite défilé dans les rues de Reims pour faire savoir qu'ils n'étaient pas d'accord avec les nouvelles réformes.
LA mobilisation continue ! Après avoir voté mardi le blocage total de la faculté droit et lettres située dans le quartier Croix-Rouge, les étudiants sont passés à l'acte.
« Il y avait à peu près 300 votants, le vote fut presque unanime en faveur du blocage, à plus de 90 % » affirment les membres de l'Unef. Hier, dès 7 h 30 du matin, ils ont complètement bloqué tous les accès à la fac. Parallèlement à ce blocage, une manifestation a eu lieu un peu plus tard, en début d'après-midi. La mobilisation a été très forte (près de 1.000 personnes). Tous les personnels, de la maternelle à l'université, sont descendus dans la rue (lycéens, professeurs, étudiants, parents d'élèves, formateurs IUFM), à l'appel de la FSU (première fédération de l'éducation), d'une intersyndicale de l'enseignement supérieur et de la recherche et de la coordination nationale des universités contre les réformes de Xavier Darcos et de Valérie Pécresse.
« Nous suivons les revendications nationales, on veut nous la faire à l'Américaine mais sans les moyens qui vont avec. Ce n'est pas à l'éducation de payer le prix de la crise ! Ils veulent mettre fin au service public dans l'éducation et réserver les études dans la recherche aux plus riches », explique Antonin Grandfond, de l'Unef.
La structure de l'Ump-Facs dénonce ce blocage et, comme dans tout conflit, nous donne des chiffres différents. Ces étudiants se disent scandalisés par le blocage de la fac de Croix-Rouge. Ils en appellent même au président de la faculté et lui demandent la levée immédiate du blocus de leur campus.
« Nous avons été choqués, lors de l'assemblée générale de mardi ; il n'y avait que 200 étudiants donc ça ne reflétait pas la réalité par rapport au nombre d'étudiants de la faculté. Nous dénonçons cette prise d'otage car les étudiants ne sont pas concernés par la réforme. Elle concerne les enseignants, les étudiants sont instrumentalisés par les professeurs car ils savent qu'ils ont besoin de nous pour rendre le mouvement plus massif et plus médiatique », raconte Paul Saade, de l'UMP-Facs. "

13.3.09

Communiqué de l'UMP Facs - Reims à propos des blocages

La structure de l’UMP-Facs Reims est choquée du récent blocage du campus Croix-Rouge décidé le mardi 10 mars lors d’une Assemblée Générale où seuls quelques 200 étudiants seulement ont pris part au vote.

Face à l’exaspération d’une majorité silencieuse qui aspire à reprendre les cours dans la sérénité, les bloqueurs doivent mesurer le degré d’irresponsabilité de leur démarche.

La protestation systématique ne peut que nuire aux efforts concédés depuis plusieurs mois par l’ensemble de la communauté étudiante pour moderniser en profondeur notre système universitaire.

Devant ce déni de démocratie, nous demandons donc la levée immédiate du blocus imposé par une minorité prenant en otage tout le campus, nous en appelons au président de l’Université afin qu’il prenne les mesures adéquates pour faire respecter le droit d’étudier."

22.2.09

Tractage à la fac de Droits et Lettres


C’était une journée ensoleillée comme on en voit rarement à Reims, il n’en fallait pas plus pour motiver les jeunes UMP remois pour aller tracter à la sortie de la fac.

A quelques pas du vignoble champenois, la faculté de Droit et Lettres de Reims est constamment le théâtre de fortes perturbations de la part des grevistes, bloquée un mois pendant la crise du CPE, elle vit actuellement une periode agitée marquée par des AG à répétition dans lesquelles nous sommes toujours présents pour prendre la parole et défendre les réformes que nous jugeons indispensables pour l’avenir de nos universités.


Ce jour-là, le tractage se passa parfaitement bien, l’accueil fut très bon, les étudiants étaient satisfaits de pouvoir échanger avec nous, satisfaits de constater que l’UNEF n’avait pas le monopole de la parole ou des idées.


Rien de mieux pour encourager une équipe à continuer ses efforts d’information et d’échange, les jeunes de l’UMP sont desormais partout, y compris à la fac.

















Article paru sur le site de l'UMP Campus

http://campus.jeunesump.fr/2009/02/22/reims-le-jeudi-12-fevrier-2009/

21.2.09

Grande Reunion - Debat à la fac





Face à l'incertitude qui regne actuellement dans nos facs, face au climat instable, le Collectif "Pour le Droit d'etudier" auquel j'appartiens a decidé d'organiser une reunion-debat au campus Croix-Rouge mercredi 25 fevrier à 12h00 (amphi 10) afin d'apporter un eclairage aux etudiants et aux professeurs sur les reformes actuels qui nous concernent tous.


Vous etes donc tous conviés à ce debat qui verra intervenir le député de la Marne Arnaud Robinet, egalement maitre de conference à la faculté de Medecine ainsi que M. Nieddu, opposant à la reforme et enseignant - chercheur en Sciences Economiques.



Voici le lien facebook de l'evenement :


http://www.facebook.com/event.php?eid=67173736561

21.1.09

Obama entre dans l'histoire



Ce mardi 20 janvier 2009 restera à jamais comme une date clé de l'histoire du XXIème siecle, en effet le monde entier a assisté à l'investiture du 44ème president des Etats Unis.

Quelle que soit notre orientation politique, pour ma part je suis plus proche des idees des Republicains, cette election restera dans notre memoire collective, par le fait qu'un noir soit élu president du plus puissant pays du monde, elle constitue une revolution, la revolution des minorités, particulièrement celle des noirs, longtemps deconsidérés dans leur pays.

C'est toute la maniére dont ils etaient vus qui va changer, desormais ils ne ressentiront plus d'inferiorité, d'injustice ou d'inegalité. Certes ça ne veut pas dire que la discrimination disparaitra mais ça constitue un grand pas dans le chemin de l'egalité des races et des communautés, ce chemin initié autrefois par le pasteur Martin Luther King qui avait été d'ailleurs visionnaire en predisant un president noir dans moins de 40 ans. Les Etats Unis nous ont ainsi montré une fois de plus qu'ils etaient bien un pays en avance par rapport au reste du monde.

Toutefois la tache du nouveau president est loin d'etre aisée, annoncé comme un sauveur, il devra se confronter à une crise economique qui semble etre durable, cette fois-ci sa couleur de peau ne determinera pas la reussite de la mission que lui ont confiés les Americains, car c'est avant tout le president des Americains, il agira donc avant tout pour son peuple.

God bless America

10.1.09

Rentrée du Comité de la 1ere circo



En tant que membre recemment élu du comité de la 1ère circonscription de la Marne, j'ai assisté ce samedi à la rentrée du comité dans la permanence d'Arnaud Robinet place Royale.

Sous la responsabilité de Gilles Borck, delegué de la 1ère circo, la renion se deroula en presence du deputé Arnaud Robinet et du senateur Jean-Claude Etienne, ce fut l'occasion de faire la connaissance des membres du comité et de presenter les differentes fonctions ainsi que les projets de cet organisme. L'objectif etant de representer tous les adherents qu'ils habitent à Reims ou à la campagne, au centre ville ou dans les quartiers. Ainsi les cantons 1, 2, 5 et 6 auront des delegués ainsi que chaque quartier ou commune.

Pour ma part ces comités ont un role primordial dans le parti, notamment dans la 1ère circonscription qui a vu ses adherents fortement diminués, ceci s'explique en grande partie par les peripeties des dernieres municipales. Il parait donc indispensable de redonner confiance aux habitants de la 1ère pour qu'ils aient à nouveau envie de rejoindre notre parti. C'est à nous donc de prouver que desormais l'union prime et de montrer l'exemple au sein d'un parti renouvelé et modernisé.

Enfin ce fut l'occasion de partager un verre en l'honneur de notre nouveau deputé si brillament élu il y a un mois.