C’était une journée ensoleillée comme on en voit rarement à Reims, il n’en fallait pas plus pour motiver les jeunes UMP remois pour aller tracter à la sortie de la fac.
A quelques pas du vignoble champenois, la faculté de Droit et Lettres de Reims est constamment le théâtre de fortes perturbations de la part des grevistes, bloquée un mois pendant la crise du CPE, elle vit actuellement une periode agitée marquée par des AG à répétition dans lesquelles nous sommes toujours présents pour prendre la parole et défendre les réformes que nous jugeons indispensables pour l’avenir de nos universités.
Ce jour-là, le tractage se passa parfaitement bien, l’accueil fut très bon, les étudiants étaient satisfaits de pouvoir échanger avec nous, satisfaits de constater que l’UNEF n’avait pas le monopole de la parole ou des idées.
Rien de mieux pour encourager une équipe à continuer ses efforts d’information et d’échange, les jeunes de l’UMP sont desormais partout, y compris à la fac.
Article paru sur le site de l'UMP Campus
http://campus.jeunesump.fr/2009/02/22/reims-le-jeudi-12-fevrier-2009/
4 commentaires:
Et pourquoi je vous prie, les nouvelles stratégies de "com" de l'ump consistent elles à diffuser des tracts et autres affiches en utilisant des visuels de gauche, type couleur rouge par exemple ?
Tout cela est en vérité bien risible. J'ignorais qu'être de droite signifiait adhérer au drapeau rouge (demain le noir qui sait ?). Cependant ceci ne m'étonne guère, je suppose que cela constitue la suite logique de l'ouverture sarközyste ...
Affligé devant les chemins empruntés par la nouvelle ump, je n'ai donc pas en prévision acheté l'ouvrage de l' "ami" Karl Marx ni le petit livre rouge, mais je ne risque pas non plus de prendre ma carte à l'umpc....euh ps....p?...(comprenez et excusez mon égarement) de sitôt comme me l'avait proposé un de vos "camarade".
cher Alphonse, cela n'a rien à voir avec la couleur du communisme, en fait il existe plusieurs structure à l'UMP, il se trouve que celle de l'UMP-Facs adopte la couleur rouge, c'est par souci de distinction, on ne veut distribuer uniquement des tracts de couleur bleue
Mais je vous rassure, nous restons fidèles à nos valeurs
J'entends bien. Mais ne faites pas semblant de ne point m'avoir compris. Malgré le fait que je me complaise souvent à utiliser dans mes dires comme mes écrits plus de mots que de besoin, ici, ceux ci on tous leur importance. C'est pourquoi je me permettais de mentionner les termes "et autres affiches"; car ne feignez pas d'ignorer l'existence de petits autocollants sable taillé de gueules* et estampillé « www.lesrevolurionnaires.fr » que l’on peut trouver collés ça et là, notamment dans la faculté de droit et lettres de Reims. Alors soyez franc, ne cherchez pas à tenter de me faire croire que cela ne vous fait pas penser à un de ces innombrables autocollants d’un quelquonque syndicat gauchiste.
Quant à vos valeurs sachez qu’elles ne sont plus miennes.
Tout comme vos maîtres vous nous parlez de « changements » de « réformes » et même de « révolution » et vous n’hésitez pas à affirmer « …notre nouveau président défend une jeunesse de droite qui fait bouger la France, une jeunesse révolutionnaire, il le dit clairement "soyons révolutionnaires". »**.
Mais soyez*** réaliste ! Avant d’essayer d’être un révolutionnaire. Vous n’êtes comme toutes les factions politiques de bases que des pions aux services d’un appareil. Il est aisé de tenir de beaux discours lyriques voir épiques sur le « pourquoi du comment » et vice versa pour la symétrie ; mais cela n’apporte rien en vérité.
Il faut de l’action ! Lorsque Monsieur Lancar**** me clame « Nous sommes les révolutionnaires » au nom de ses petits camarades, d’une part je m’interroge et d’autre part je ne puis réprimer l’esquisse d’un large sourire. Non ! Vous n’êtes pas les révolutionnaires ! Robespierre lui, faisait trancher des gorges, écrasait l’adversaire et s’imposait, mais il ne se proclamait pas révolutionnaire à tout bouts de champs. Il l’a pourtant faîte cette révolution, et il lui est arrivé ce qui lui méritait d’ailleurs. La révolution nécessite l’action et la prise de risques, or vous n’êtes les partisans que du consensus mou et du surréalisme.
Vous savez particulièrement bien que l’université française et même l’ensemble du système de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur marche à la mort, s’il n’est pas déjà dans la tombe. Le sujet pourrait faire l’objet d’une encyclopédie complète, c’est pourquoi je ne m’y essaierais pas ; cependant quelque faits sont tout de même remarquables.
Il suffit par exemple d’observer cette minorité de post soixante huitards gauchistes qui bloquent depuis toujours les facs ; qu’on stoppe toutes hypocrisies, ce sont des soviétiques qui utilisent donc les méthodes qui sont les leurs. On ne peut donc combattre ce genre de personnes et leur totalitarisme en leur opposant de simples et beaux discours mielleux. Qui plus est, les fondements juridiques du blocage sont plus que flous et un simple coup de téléphone au préfet de police par le président de l’université suffirait pour envoyer les CRS et permettre d’assurer les cours. Quant aux quelques fanatiques bolchéviques qui tenterait de faire de la résistance, ils seraient passés, traduits, en conseil de discipline et radiés « ad vitam… ».
Le droits de grève n’en serait d’ailleurs nullement affecté, car les quelques professeurs ou étudiants gréviste resteraient libres de tenir le piquet. On peut faire avec.
Ce système actuel proprement scandaleux est donc le fruit de quelques fatraquins qui n’auraient rien à faire dans les facs mais aussi des présidents d’universités, disons le clairement.
L’université ne devrait donc pas, et ne doit en aucun cas, être un espace de militantisme politique. Les syndicats étudiants et autres structure politisées ne devrait en aucun cas être présent en son sein. Les facultés devrait être des espaces de savoir, d’excellence, de travail comme elles l’étaient par le passé. Les factions politiques dont font partie les « syndics » étudiants -car manipulés par des appareils plus puissants- devraient donc voir leurs droits de parole relatif au programmes et modalités d’étude purement et simplement supprimés. Quand aux factions du type Ump-facs n’en parlons même pas.
Il est donc nécessaire d’épurer l’université de toutes factions politiques de droite comme de gauche, que les étudiants aient leurs idées et leurs engagements politique est un fait et un droit, mais « hors des facs ».
Il ne s’agit pas d’une question de pseudo-démocratie mais bien de bon sens, depuis quand est ce aux étudiants de s’exprimé à la place de leur maîtres ? ***** Depuis quand est-ce aux étudiants de réaliser la politique de l’université ?
Bref un peu d’audace ! Ce système universitaire aurait besoin d’un sérieux décrassage qui doit se faire de gré ou de force, car il n’est nullement question de démocratie. Il est donc fort regrettable que Monsieur Sarközy est rangé son Kärcher et que Monsieur Devedjian ait oublié ses origines******.
* J’utile là des termes d’héraldique car ce sont eux qui conviennent le mieux pour décrire le dit autocollant. En termes actuels l’autocollant serait « en rouge et noir » comme dirait Jeanne Mas !
**Il s’agit de vos propres propos écrits, et mon « correcteur d’orthographe Microsoft » à été sympa il vous à corrigé les fautes. Cela dit je ne vous en tiendrais pas rigueur, j’ai moi-même été victime de cette « éducation nationale » qui détruit des générations entières d’élèves : http://reimsmilitant.blogspot.com/2008/09/etre-revolutionnaire.html
***Il ne s’agit en aucun cas d’une attaque personnelle, ce discours entier reste confiné à la politique.
**** Exemple type du pistonné, pas complètement idiot, même intelligent, mais manipulable et apôtre de la nouvelle droite sarközyste et du monde moderne, enfoncée dans le néant idéologique le plus complet et la perte de repères (voulue pour embrigader les naïfs, les crédules et les imbéciles ; bref probablement une majorité de français).
***** Depuis mai 1968 probablement mais cela n’aurait jamais du être.
******N’oublions pas que Monsieur Devedjian fut membre du GUD faction étudiante d’extrême droite qui fut notamment amené -par des manœuvres du président de l’université d’Assas II à Paris- à prendre le contrôle du terrain politique dans cette dernière. Ceci dit il n’y à jamais eu depuis –à une exception près ou deux- la moindre grève. Efficace dans une certaines mesure, mais entrainant quelques bagarres peu louable, bref la suppression de tout organe politique reste à mon sens (mais pas que) la meilleure solution.
Sachez le bien, j'ignore qui sont ces gens et n'ayant aucune accointance avec eux n'étant ni membre de l'ump, ni partisan absolu de leurs idées, c'est donc tout à fait librement que je vous soumet le texte suivant qui me semble empreint d'un grand réalisme et dont je partage l'ensemble des vues : "Nous sommes de jeunes militants de l'UMP et nous avons décidé de créer ce blog pour protester contre l'invitation de la direction des Jeunes Populaires à se rendre à la marche des fiertés, ex-gaypride. Cet événement, dont on peut douter de la décence, est une occasion pour des minorités visibles de revendiquer le mariage et l'adoption pour les couples homosexuels. Nous pensons que la participation de l'UMP à cette manifestation est contraire à la conception de la famille que nous portons.
D'une manière plus générale, nous nous inquiétons de la dérive gauchisante des Jeunes Populaires depuis l'élection (contestable) de Benjamin Lancar à la présidence.
Dès les premières campagnes des Jeunes UMP, nous avons perçu le tournant "révolutionnaire" du mouvement, comme un véritable renoncement avec les valeurs de la droite que Nicolas Sarkozy incarne de manière courageuse. Il s'agissait de "liquider Mai 68", avec Benjamin Lancar, nous sommes en plein dedans.
Le premier mouvement jeune de droite, tel que le revendique avec raison Benjamin Lancar, incarne-t-il aujourd'hui les valeurs qui motivent nos engagements : les valeurs d'une droite décomplexée et réaliste, qui remet à l'honneur le mérite, le travail et la responsabilité ?"
Dont je partage toutes les vues à l'exception cependant de celle concernant Monsieur Sarkozy, qui n’est selon moi que l’un des maîtres de Monsieur Lancar et qui par une politique de communication habile réussi à berner nombres de jeunes chiens fous se revendiquant d’une droite conservatrice, m’est avis qui n’est plus envisageable à l’ump aux vus de ses instances dirigeante corrompues par de néfastes idées. Comment par exemple adhérer à un parti soutenant démagogiquement la gaypride et ses lobbys ou encore ayant à sa tête un franc maçon*.
Ce texte est issu du blog suivant : http://lancarstoptondelire.blogspot.com/ qui même s’il est probablement un blog de long couteaux issu des querelles intestines de l’ump n’en est pas moins quelque peu réaliste.
*Cela ne dérange peut point certains, mais étant moi-même de confession catholique je ne puis soutenir tel homme, l’Eglise condamnant la franc maçonnerie et en excluant de facto ses membres de la communion, les soutenir ne me parait pas vraiment envisageable.
Cordialement.
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